Plusieurs rappeurs dont Jay-Z ont signé une lettre ouverte, pour pousser les législateurs new-yorkais à adopter une nouvelle loi. Cette dernière limiterait l’utilisation des paroles de rap comme preuve devant les tribunaux, rapportent des médias américains durant le 28 janvier passé.

À la suite d’une augmentation du nombre de rappeurs dont les paroles ont été utilisées contre eux comme preuve incriminante, ce projet de loi appelé "Rap Music on Trial" a été présentée pour la première fois en novembre dernier. Jay-Z, un des 15 artistes les mieux payés au monde, fait appel à tous les artistes pour plaider cette cause.
Pour l’instant, Big Sean, Meek Mill, Fat Joe, Kelly Rowland et d'autres célébrités ont également ajouté leur noms.
L’avocat de Jay-Z, Alex Spiro, a déclaré : " C’est une question qui est importante pour Jay-Z et tous les autres artistes qui se sont réunis pour essayer d’apporter ce changement. Il s’agit d’une démarche longue à venir. M. Carter est de New York et s’il peut prêter son nom et son poids, c’est ce qu’il veut faire", lit-on dans ses propos relayés par les médias américains.