La justice Marocaine a condamné, le lundi 19 juillet, le journaliste marocain Omar Radi, pour son implication dans une double affaire d’espionnage et de viol.
En détention provisoire depuis juillet 2020, on a rapporté que le journaliste et défenseur des droits humains Omar Radi était inscrit dans la liste des journalistes et d’autres personnalités qui sont dans le viseur du logiciel Pegasus de la firme israélienne NSO, selon une enquête réalisée et publiée par un ensemble de médias internationaux, parmi lesquels la Radio France.
Après cette décision rendue par la cour de Cassablanca Marocaine, un mouvement de protestation a été improvisé par plusieurs protestataires qui réclament la libération du journaliste, ces derniers contestent cette décision prise contre le journaliste comme “abus ”.
“Le parquet est motivé par la vengeance et non par la quête de la vérité “ a déclaré M. Omar Radi devant le tribunal.
Selon une enquête publiée par de différents médias dont la Radio France. “Pegasus“ est un logiciel espion utilisé par des États pour cibler des politiques, des journalistes, des avocats y compris des Français.
Le gouvernement Marocain a apporté des dementi aux rumeurs faisant croire qu’il a emprunté les services de recours du logiciel Israélien pour espionner les journalistes et autres personnalités nationales et internationales.
