Barack Obama en 2012 et Donald Trump en 2016 se sont ouvertement vantés d’avoir utilisé le réseau social à leur avantage.
Mais en revanche, grâce aux milliards d’informations que les électeurs livrent sur eux via Facebook, les équipes de campagne peuvent identifier les abstentionnistes qui ont plutôt le cœur du côté du candidat qu’elles défendent et, dans un second temps, les convaincre d’aller voter. seule une petite partie des électeurs change de candidat favori en cours de campagne de 2 % à 5 % en moyenne en France, selon le Centre d'études de la vie politique française(CEVIPOF).
Facebook ne permet pas de convaincre un électeur de gauche de voter à droite ou inversement. Car on le sait
PAR ROBINSON, JEROME
jeromerobinson64@gmail.com Twitter @patriotes86