Dans les zones les plus reculées des départements affectés au cataclysme du 14 août dernier, la situation des rescapés s’empire. Logement, eau potable, nourritures, vêtements et l’odeur encombrante des dépouilles sous les décombres décorent la calamité des habitants de Burin, une petite localité de la commune de Torbeck. Les habitants crient au secours.

Environ deux semaines après le passage du séisme qui a frappé sévèrement la péninsule Sud. De nombreuses localités éloignées sont sous alerte d’urgence rouge. BURIN est l’une de ses zones.

Plusieurs dizaines de maisons sont effondrées et plusieurs morts ont été enregistrés. Les habitants vivent une situation difficile. N’était ce pas les démarches de l’évêque Thomas Enoc qui dirige la mission de l’église de Dieu Lieu de Victoire auprès de ses proches, ce serait pire.

La reconstruction des maisons est une priorité pour l’évêque qui réclame l’acheminement des matériels comme clous, bois, planche et tant d’autres dans cette zone, où les habitants dorment à la belle étoile. Il enjoint les fils et filles de cette communauté, éparpillés dans divers coins et recoins du pays ou dans la diaspora à faire faisceau pour aider BURIN.

Pour avoir accès à cette localité, l’évêque laisse un itinéraire, « il suffit d’emprunter la route de Bellevue et identifier une rentrée à l’angle où se trouve la barrière du projet Taiwan. Ou, « Lomon » qui lui peut faciliter la rentrée des engin lourds et containers ».