Le salaire minimum fixé par le gouvernement ne tient pas compte de la réalité socio-économique actuelle, estime l'organisation " Nou Pap Konplis ". La structure Petrochallenger dit appuyer le mouvement revendicatif des ouvriers de la sous-traitance réclamant 1500 gourdes par journée de travail.

L'appréciation du coût de la vie justifie la revendication des ouvriers de la sous-traitance réclamant un salaire minimum journalier de 1500 gourdes, soutient le directoire de "Nou PaP konplis" dans un communiqué.
En effet, cette structure dit supporter le mouvement revendicatif des ouvriers du secteur textile en faveur de 1500 gourdes par jour de travail.
L'organisation Petrochallenger plaide également en faveur des avantages sociaux à savoir cafétéria, subvention scolaire, coopérative de logements au profit des travailleurs des factories.
Par ailleurs, elle exige une enquête de l'inspection générale de la police nationale en vue d'identifier des policiers ayant commis des actes de brutalités contre des ouvriers du secteur textile, lors des dernières manifestations des employés des usines à la SONAPI la semaine écoulée.