
Vue de Cité Choun, une localité de Ravine Pintade. CP: Marc Curry Edmond
En 2010, le passage du séisme dévastateur sur le territoire national a porté le nombre de personnes tuées à environ 280 000. Des maisons ont été détruites, des édifices publics et privés s'écroulent sous la forte pression de ce tremblement de terre.
Aujourd'hui nous sommes un 12 janvier, dix ans après plusieurs citoyens sont toujours sans abris, certains vivent dans des camps provisoires où ils sont livrées à eux-mêmes, d'autres qui ont un certain moyen économique construisent des maisons comme bon leur semble sans aucune autorisation de l'état central qui semble faillir à sa mission et rater du même coup l'occasion de reconstruire dans les normes Port-au-Prince et ses zones endommagées par le tremblement de terre.
Nous sommes à Ravine Pintade dans une petite localité dénommée <<Cité Choun>>, un lieu que le séisme majeur du 12 janvier a fortement endommagé et fait beaucoup de victimes. Les habitants vivant dans cette localité rappellent les pertes en vies humaines et des dégâts matériels causé par ce tremblement de terre de magnitude 7, mais certains prennent le risque de construire et d'habiter dans des maisons dangereuses.